J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
samedi 13 février 2010
Un Thiers de trop
Une rue à Paris en Mai 1871 ou La Commune. (1903)
Maximilien LUCE (1858-1941)
Musée d'Orsay (Paris)
Le monument de Monsieur Thiers
(extrait)
Il est des cadavres maudits
Dont le voisinage vous souille
Le champ de navets des bandits
Convient à leur sale dépouille
Quand la commune reviendra
Thiers sur ta chapelle abattue
En effigie on te pendra !
Il est des morts qu'il faut tuer.
Jules JOUY
6 sept 1887
Adolphe Thiers
Caricature de Daumier
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