mercredi 22 avril 2020

Une histoire d'amour !

Témoignage très étonnant à rebours des idées reçues malveillantes, et qui pose question quand même...




J'ai été surpris d'entendre "Gorron" comme lieu de résidence du couple. C'est en Mayenne, pas loin de mon berceau familial, mais je n'avais pas perçu d'accent patois mayennais à écouter le monsieur.

Jusqu'à ce qu'il parle de "l'enquête" qu'il a prononcé l'ench[i]ette. Le ch est prononcé comme le ch du "ich" allemand, pas comme le ch de chien.
Un petit indice pour la localisation...


  • Reportage : Leila Djitli 
  • Réalisation : Eric Lancien

dimanche 12 avril 2020

Interdit d'interdire : Franck Lepage sur «Covid-19 : l'ami des dominants» ?




Pendant la pandémie, la répression continue !

Évacuation de la Zad de Brétignolles-sur-Mer : les autorités n’ont pas respecté le confinement

La « Zad de la dune » a été évacuée mercredi 8 avril, en fin d’après-midi, à Brétignolles-sur-Mer (Vendée). Les autorités publiques et municipales ont enfreint les règles de confinement pour vandaliser la Zad. Le but : construire un port inutile et détruisant la biodiversité.

Mercredi matin 8 avril, un incident a éclaté aux alentours de la Zad de Brétignoles-sur-Mer. D’après les occupants du site, un couple d’automobilistes aurait écrasé un chiot leur appartenant. En retour, le propriétaire de l’animal a détérioré le véhicule, ce qui a conduit à une première intervention de la gendarmerie. L’homme a été interpellé.

En fin d’après-midi, le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig) s’est déplacé pour interpeller et arrêter les occupants de la dune. « La vingtaine de camarades présente sur place a été nassée dans les champs puis embarquée vers 18 h 30 pour des contrôles d’identité », indique un communiqué de presse écrit par les « gardiens de la dune ».

D’après un témoignage recueilli par France Bleu Loire Océan, le dispositif déployé (hélicoptère, drones, nombre de véhicules) était « impressionnant ». Selon Les Sables – Vendée Journal, « l’opération aura mobilisé deux Psig, un escadron de gendarmerie mobile, une quinzaine de gendarmes motocyclistes et 36 enquêteurs pour vérification d’identité ».

Les militants ont été répartis dans différents commissariats du département. La majorité a depuis été relâchée. « Certain.es sont sorti.es très tard [dans la nuit de mercredi 8 à jeudi 9 avril] dans des villes qu’iels ne connaissent pas, iels se sont donc retrouvé.es à la rue en pleine nuit et loin de tout soutien, à la merci du moindre contrôle et d’une amende puisque aucune attestation ne leur a été délivrée », écrivent encore les zadistes.

Les Sables- Vendée Journal écrit que « l’opération de gendarmerie qui a été menée ne serait pas une évacuation planifiée », mais une procédure de « vérification d’identité » dans le cadre de la procédure ouverte à la suite de l’altercation entre l’homme et les automobilistes, citant le colonel Véronique Sandahl, commandant du groupement de gendarmerie de Vendée.

La suite de l'article de Reporterre.