mercredi 12 décembre 2012

Zweig, la saveur du récit

Six nouvelles :

- La peur
Une femme bourgeoise assez sage établit une liaison avec un homme qui devient son amant. Un jour, en sortant de chez lui, elle croise une femme qui l'invective et menace de tout révéler...

- Révélation inattendue d'un métier :
Un homme, qui prend un café à une terrasse, observe le manège de la foule sur le trottoir d'en face. Bientôt, les allées-et-venues d'un petit homme dans la foule pressée, l'intriguent...

- Leporella : l'histoire d'une domestique sans grâce, mais vive d'esprit, qui se prend d'amitié pour le maître de la maison dans laquelle elle commence à prendre son service. Celui-ci vit un enfer avec sa femme...

- La femme et le paysage :
Le souvenir d'une fin d'été caniculaire où l'attente de la pluie et de la fraîcheur rend les hommes fous. Chez une jeune femme, rencontrée par le narrateur dans un hôtel, cette attente se manifeste par un état d'hypnose et de somnambulisme...

- le bouquiniste Mendel :
Où l'histoire rejoint les fictions. Le bouquiniste Mendel est une encyclopédie vivante, et vivant hors du temps. Il ne voit pas poindre les menaces de l'époque. On est entre-deux-guerres, en Autriche. Il est juif.

- La collection invisible
Un négociant d'oeuvres d'art cherche des tableaux à vendre. Il se rend en province, chez un ancien acheteur et collectionneur qui pourrait avoir des choses à lui céder. En retrouvant le vieil homme, il se rend compte qu'il a affaire à un aveugle. Celui-ci va néanmoins lui présenter sa fameuse collection de dessins célèbres...


Et toujours, la magie du verbe Zweig.
























Merci à ma manman


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