vendredi 28 décembre 2012

Parfois dans un film,

on se demande s'il n'y a pas un bug dans le scénario, quand, après une heure, tout ce qui faisait l'intrigue est dénoué : le vilain est mort, les sbires du vilain sont arrêtés et confondus, le héros est libre et fume une cibiche à la gare, avant de quitter la ville. C'est exactement ce qui se passe dans ce film des débuts de Stanley Kubrick. On se dit que ce n'est pas possible, ça ne va pas pouvoir rebondir, et finalement, on a raison, le film ne dure que 1H05 !
Si je voudrais faire semblant que j'y connais, je dirais que c'est radicalement hitchcockien, comme film. D'abord, ils s'observent à travers les fenêtres d'appartements voisins, les miroirs ont une grande importance dans la construction des images, et puis, quand ils se battent dans l'entrepôt de mannequins, c'est très trhillique comme ambiance. Sur l'affiche, on voit les mains qui pendent, dans le film, elles bougent, pour faire peur, mais moi, je crains rien, j'ai mon doudou !





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