J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
dimanche 11 avril 2010
Paul Eluard à Beynac
Avec Nusch (date et référence photo introuvables)
Paul Eluard a séjourné en Dordogne sur la fin de sa vie. En 1951, un an avant sa mort, il partage son existence entre Paris, Saint-Tropez et Beynac. Il vit alors avec Dominique LEMOR, rencontrée au congrès de la paix de Mexico (1949). L'intermède 1946-1949, entre la mort de Nusch et la rencontre de Dominique, est une période sombre de sa vie.
Photo :
http://www.aerotourisme.info/Chateaux-surplombant-la-vallee-de.html
Nous fuirons le repos nous fuirons le sommeil
Nous prendrons de vitesse l’aube et le printemps
Et nous préparerons des jours et des saisons
A la mesure de nos rêves
Paul Eluard
(Le visage de la Paix -extrait- 1951)
A Beynac (Photo A. BARRE)
28 novembre 1946 : le « Jour de trop ».
A la Libération, Éluard est un poète heureux : fêté par tous et invité partout, il voit encore sa gloire accrue quand paraît Poésie ininterrompue en janvier 1946.
Mais, imprévisible, tombe le " jour en trop " : le 28 novembre 1946, Nusch, la fidèle compagne depuis dix-sept ans, succombe brutalement à une hémorragie cérébrale, ce qui plonge Paul au bord de la folie et du suicide. Pour Éluard, " le temps déborde ".
Nusch, photographiée par Man RAY
Une fois n'est pas coutume, un article de Paris-Match...
http://www.parismatch.com/People-Match/Livre/Actu/le-PC-m-a-empechee-d-epouser-Paul-Eluard-155617/
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Comme d'habitude, il faut se méfier de tout ce qui est publié par les médias. La photo du chateau/village n'est pas celle de Beynac mais d'un autre site de Dordogne.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
Supprimerça fait plaisir de voir qu'il y a des lecteurs attentifs... L'erreur n'est pas due au média d'origine, mais à moi-même, qui ai fait un copié-collé trop rapide... J'ai rectifié, la photo est bien celle de Beynac désormais.
RépondreSupprimerMerci
Ce n'était en effet plus elle
RépondreSupprimerMais j'ai suivi l'ombre, fidèle
À mon idée à la ruelle
Qui monte vers mon étincelle (bolero2antipodes)