mercredi 14 février 2018

Grenoble dans le soleil d'un matin d'hiver

Mais d'abord un petit flash-back. Chaque lundi, une asso d'étudiants du campus de la fac UGA (Université Grenoble-Alpes) propose des repas à la bonne franquette, en extérieur, sur des tréteaux et des tables improvisés. Prix libre. C'est "la Tambrouille". On y retrouve des comparses d'Antigone (article précédent).




















































Ce matin, nous avons grimpé la colline de la Bastille, le fort qui domine Grenoble, à 476 m. d'altitude (260 m. environ au-dessus de la ville).  On attrape une suée, mais moins que les fadas qui montent en courant, descendent en courant, et rentrent chez eux tout galopant comme des lapins des Alpes.




















Ils ont tendu des câbles pour ceux que rebute la marche pédestre des pieds. Mais bon, on n'est pas encore assez graves à terre.

































































Un amuseur a imaginé l'oeuf idéal pour ce téléphérique...

























A nos pieds, le vieux centre ville.



















La rue St Laurent, qui est au pied du fort, donc de l'autre côté de l'Arve par rapport au centre-ville. C'est un faubourg assez bien conservé de l'époque renaissance.

















































A Christo's wrapping ?
No a bridge's renewal !
Il s'agit de la passerelle qui se trouve à l'endroit du vieux pont historique, lequel fut, au XVIIème encore, la seule entrée possible à Grenoble, ville fortifiée. La grande époque de Lesdiguières, seigneur du lieu, qui bouta les cathos (soutenus par la Savoie voisine) hors de la place (22 décembre 1590) et fut par la suite nommé Lieutenant Général des armées d'Henri IV...
Dernier connétable de France. *























































Tiens, Jeannot est passé par là ! (Authentique !)





















Une suggestion finale ?




















* L'occasion de faire un petit rappel : Connétable vient de "comte des étables"...




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