J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
dimanche 17 octobre 2010
Il paraît que dans l'oeuvre de MENDOZA
(Eduardo), il n'y a pas de héros, il n'y a que des anti, et le chevalier et philosophe romain, errant, diarrhéique et loqueteux Pomponius Flatus, en voyage en Israel juste avant le début de notre ère, et pour cause, vu qu'il va rencontrer Jésus, tenter de disculper son père, Joseph d'un crime qu'il n'a pas commis, et en fait, mener une enquête, donc ce bouquin est aussi un roman policier, mais c'est aussi très drôle, pour arriver à la scène finale où tout est prêt, on le comprend bien, pour que commence le théâtre des guignols, le vrai, le catholique avec ses gros sabots et ses cages de fer pour bien torturer les mécréants avec aussi ses préceptes ignobles qui ont répandu sur toute la terre ce sentiment de culpabilité qui nous fait tant de mal encore aujourd'hui, ne fait pas exception.
Traduit de l'espagnol par François MASPERO, Coll. Points, le Seuil, 2009 dans cette édition (paru en 2008)
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