Le 22 avril puis le 6 mai, écartelée par l'impossible grand écart entre les appels du pied aux électeurs du centre et les clins d'oeil appuyés à ceux de l'extrême droite qui présente ses propres candidats, l'UMP se prend une grosse claque, et voit son rôle de parti dominant de la droite complètement remis en cause.
Sarkozy, mis en cause de façon personnelle par ses anciens amis, est au pire renié, au mieux ignoré par son propre camp.
La France est débarrassée d'une forme de populisme.
Dernier grain de sable dans la Rolex : les yeux décillés par les événements, Carla s'interroge sur sa présence auprès d'un tocard pareil.
On y est presque.
Achevons-le !
Crédit photo :
http://actualite.portail.free.fr/people/11-03-2012/nicolas-sarkozy-caricature-par-ses-detracteurs-avant-son-grand-meeting-decisif/
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