C'est du grand art 7ème, avec reconstitution des bas-fonds de Londres très soignée.
Ce qu'en dit le gars Wiki :
"Pour le synopsis et les autres adaptations au cinéma, voir l'article consacré au roman Oliver Twist. Cette version cinématographique est une des plus fidèles au roman. Quelques détails secondaires de l'intrigue sont éludés, le plus important est la fin du film qui ne montre pas la condamnation de Fagin à la peine de mort et ses derniers moments dans sa cellule où il reçoit la visite d'Oliver.
Ce film, parmi les premiers de David Lean comme réalisateur, illustre sa seconde rencontre avec l'univers de Charles Dickens, après Les Grandes Espérances (Great Expectations, 1946) et, en même temps, affirme le renouveau du cinéma britannique après la Seconde Guerre mondiale. Oliver Twist bénéficie d'une photographie très soignée — donnant à certains passages une allure de cinéma expressionniste — et de décors très fouillés, ainsi que d'une interprétation de qualité, jusqu'au moindre second rôle, à commencer par Alec Guinness, méconnaissable. Son maquillage, jugé « antisémite » par certains, fit par ailleurs naître une polémique lors de la sortie du film, surtout aux États-Unis. Dans ce pays, il ne sortit qu'en 1951 après avoir subi 11 minutes de coupes pour atténuer le rôle du juif Fagin, David Lean fît cependant remarquer que le mot juif n'est jamais prononcé dans le film."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oliver_Twist_(film,_1948)
Alec Guiness et le même transfiguré en Fagin...
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