sont dans les berceaux.
J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
mardi 31 janvier 2012
lundi 30 janvier 2012
Citation
"...l'entrain latent des rats crevés ne sera jamais reconnu à sa juste valeur."
Un de mes proches, très récemment, dans un style typique de lui.
Un de mes proches, très récemment, dans un style typique de lui.
dimanche 29 janvier 2012
Oliver Twist, version de 1948
C'est du grand art 7ème, avec reconstitution des bas-fonds de Londres très soignée.
Ce qu'en dit le gars Wiki :
"Pour le synopsis et les autres adaptations au cinéma, voir l'article consacré au roman Oliver Twist. Cette version cinématographique est une des plus fidèles au roman. Quelques détails secondaires de l'intrigue sont éludés, le plus important est la fin du film qui ne montre pas la condamnation de Fagin à la peine de mort et ses derniers moments dans sa cellule où il reçoit la visite d'Oliver.
Ce film, parmi les premiers de David Lean comme réalisateur, illustre sa seconde rencontre avec l'univers de Charles Dickens, après Les Grandes Espérances (Great Expectations, 1946) et, en même temps, affirme le renouveau du cinéma britannique après la Seconde Guerre mondiale. Oliver Twist bénéficie d'une photographie très soignée — donnant à certains passages une allure de cinéma expressionniste — et de décors très fouillés, ainsi que d'une interprétation de qualité, jusqu'au moindre second rôle, à commencer par Alec Guinness, méconnaissable. Son maquillage, jugé « antisémite » par certains, fit par ailleurs naître une polémique lors de la sortie du film, surtout aux États-Unis. Dans ce pays, il ne sortit qu'en 1951 après avoir subi 11 minutes de coupes pour atténuer le rôle du juif Fagin, David Lean fît cependant remarquer que le mot juif n'est jamais prononcé dans le film."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oliver_Twist_(film,_1948)
Alec Guiness et le même transfiguré en Fagin...
Ce qu'en dit le gars Wiki :
"Pour le synopsis et les autres adaptations au cinéma, voir l'article consacré au roman Oliver Twist. Cette version cinématographique est une des plus fidèles au roman. Quelques détails secondaires de l'intrigue sont éludés, le plus important est la fin du film qui ne montre pas la condamnation de Fagin à la peine de mort et ses derniers moments dans sa cellule où il reçoit la visite d'Oliver.
Ce film, parmi les premiers de David Lean comme réalisateur, illustre sa seconde rencontre avec l'univers de Charles Dickens, après Les Grandes Espérances (Great Expectations, 1946) et, en même temps, affirme le renouveau du cinéma britannique après la Seconde Guerre mondiale. Oliver Twist bénéficie d'une photographie très soignée — donnant à certains passages une allure de cinéma expressionniste — et de décors très fouillés, ainsi que d'une interprétation de qualité, jusqu'au moindre second rôle, à commencer par Alec Guinness, méconnaissable. Son maquillage, jugé « antisémite » par certains, fit par ailleurs naître une polémique lors de la sortie du film, surtout aux États-Unis. Dans ce pays, il ne sortit qu'en 1951 après avoir subi 11 minutes de coupes pour atténuer le rôle du juif Fagin, David Lean fît cependant remarquer que le mot juif n'est jamais prononcé dans le film."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oliver_Twist_(film,_1948)
Alec Guiness et le même transfiguré en Fagin...
2012, année prolixifiante ?
30 articles en 30 jours, je peux sortir en bombant le torse sous l'effet d'un plaisir tout comme çui quand on pourlèche une barbapapa sous la pluie devant le guichet de la grande roue qui vient juste de fermer.
samedi 28 janvier 2012
Latin
Pour Monseigneur Egger, lexicologue à Rome, le latin n'est pas une langue morte, puisque c'est la langue officielle du Vatican; et quand un cardinal colombien rencontre un cardinal chinois, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de cardinaux (mais en latin !). C'est pourquoi il a concocté un dictionnaire de latin moderne.
Extraits :
Bidet : Ovata pelve
Cache-sexe : Parvum subligaculum
CD : Orbis lasericus
Dalaï-lama : Supremum magister buddhistarum tibetanorum
Décaféïné : Cafeinum ablatum
Dollar : Nummus americanus
Jazz : Nigritorum musica
Mac Donald : Filius Donaldi
Nymphomane : Virosa mulier
Photocopieur : Polygraphio editus
Porte-clés : Clavicularium
Préservatif : Tegumembra
Répondeur : Capedictum
Rock'n'roll : Nuta et volve saltationis
Scooter : Biroluta motoria
Télévision : Vetravisio
Western : Fabula americanae occidentalis
Extraits :
Bidet : Ovata pelve
Cache-sexe : Parvum subligaculum
CD : Orbis lasericus
Dalaï-lama : Supremum magister buddhistarum tibetanorum
Décaféïné : Cafeinum ablatum
Dollar : Nummus americanus
Jazz : Nigritorum musica
Mac Donald : Filius Donaldi
Nymphomane : Virosa mulier
Photocopieur : Polygraphio editus
Porte-clés : Clavicularium
Préservatif : Tegumembra
Répondeur : Capedictum
Rock'n'roll : Nuta et volve saltationis
Scooter : Biroluta motoria
Télévision : Vetravisio
Western : Fabula americanae occidentalis
mercredi 25 janvier 2012
samedi 21 janvier 2012
Question
Imaginons que le père Noël cédât aux sirènes mercantiles lui enjoignant d'apporter une "DS" au pied du sapin à peine fané, la gamine eût-elle eu le même goût de créer cette magnifique composition à base de deux feuilles de papier essuie-tout découpées, collées et dessinées ?
vendredi 20 janvier 2012
Le courage n'étant pas la vertu humaine la mieux partagée,
célébrons-le lorsqu'on vient à en constater l'évidente manifestation d'une de ses formes !
Prenons la fonction publique, par exemple, il n'y en a certainement qu'un sur 1000, parmi les responsables de service, chefs de bureau, ou...Inspecteurs de l'Education Nationale, qui ose donner son opinion personnelle, et prendre des décisions courageuses pour dénoncer les dysfonctionnements de leur administration.
En Dordogne, on a l'un de ceux là... On est épatés...
Crédit photo : Sud-Ouest du 20 janvier
À Antonne-et-Trigonant, hier matin, parents et enfants ont découvert qu'il manquait l'instituteur de la classe de CM2. Il était malade, mais il n'y a pas de remplaçant possible comme cela arrive très souvent actuellement. C'est l'inspecteur de l'Éducation nationale du secteur qui était de passage qui a décidé de faire la classe aux élèves qui avaient dû rester à l'école.
Guy Vermé, désolé de ne pas pouvoir trouver de solution, a fait ce choix pour dénoncer une situation impossible : « Il y a dix postes de remplaçants à pourvoir. » Une situation difficile que dénonçait aussi le maire socialiste de la commune, Daniel Le Mao, qui a médiatisé cette situation pour dire son inquiétude."
Article S-O du 20 janvier
http://www.sudouest.fr/2012/01/20/faute-d-enseignant-l-inspecteur-fait-classe-610261-1710.php
Prenons la fonction publique, par exemple, il n'y en a certainement qu'un sur 1000, parmi les responsables de service, chefs de bureau, ou...Inspecteurs de l'Education Nationale, qui ose donner son opinion personnelle, et prendre des décisions courageuses pour dénoncer les dysfonctionnements de leur administration.
En Dordogne, on a l'un de ceux là... On est épatés...
Crédit photo : Sud-Ouest du 20 janvier
"Antonne-et-Trigonant (24) : faute d'enseignant, l'inspecteur fait classe
À Antonne-et-Trigonant, hier matin, parents et enfants ont découvert qu'il manquait l'instituteur de la classe de CM2. Il était malade, mais il n'y a pas de remplaçant possible comme cela arrive très souvent actuellement. C'est l'inspecteur de l'Éducation nationale du secteur qui était de passage qui a décidé de faire la classe aux élèves qui avaient dû rester à l'école.
Guy Vermé, désolé de ne pas pouvoir trouver de solution, a fait ce choix pour dénoncer une situation impossible : « Il y a dix postes de remplaçants à pourvoir. » Une situation difficile que dénonçait aussi le maire socialiste de la commune, Daniel Le Mao, qui a médiatisé cette situation pour dire son inquiétude."
Article S-O du 20 janvier
http://www.sudouest.fr/2012/01/20/faute-d-enseignant-l-inspecteur-fait-classe-610261-1710.php
jeudi 19 janvier 2012
mardi 17 janvier 2012
lundi 16 janvier 2012
Des vers olorimes ou holorimes sont des vers qui riment d'un bout à l'autre.
Au Café de la Paix, grand père, il se fait tard.
Oh ! qu'a fait de la pègre en péril ce fêtard ?
Dans ton site sévère assistant sa prestance
Danton cite ces vers, assis, stance après stance.
Ah! quitte ainsi ta tante et va, l'heure est amère,
A qui t'incita tant, ve, à leurrer ta mère.
L'annonceras-tu, eh! ami: " Dix sous l'attente "
L'ânon sera tué à midi sous la tente.
Ah! l'Iran maudit vint à l'heure et rêve ailé
A lire en mots divins, t'a le " Vrai " révélé.
Comment déjà, d'Islam à La Mecque fidèle
Commandait jadis l'âme, Allah, mais que fit d'elle ?
Ainsi, tentait de voir en versets te citer,
Incitant, tes devoirs envers cette cité.
Là, c'est décrit cent fois, le regard d'Allah perce.
Lassé des cris sans foi, l'heureux garda la Perse.
Cher, cher athée errant, seul, ivre d'aise irai
Chercher à Téhéran ce livre désiré.
Ah! par une aide à l'âme est, dit-on, le message
Apparu, né d'Allah. Méditons-le, mes sages.
David P. Massot
Trouvé sur ce très chouette site, tourné vers les jeux de lettres et de langue :
http://bric-a-brac.org/lettres/olorimes.php
Oh ! qu'a fait de la pègre en péril ce fêtard ?
Dans ton site sévère assistant sa prestance
Danton cite ces vers, assis, stance après stance.
Ah! quitte ainsi ta tante et va, l'heure est amère,
A qui t'incita tant, ve, à leurrer ta mère.
L'annonceras-tu, eh! ami: " Dix sous l'attente "
L'ânon sera tué à midi sous la tente.
Ah! l'Iran maudit vint à l'heure et rêve ailé
A lire en mots divins, t'a le " Vrai " révélé.
Comment déjà, d'Islam à La Mecque fidèle
Commandait jadis l'âme, Allah, mais que fit d'elle ?
Ainsi, tentait de voir en versets te citer,
Incitant, tes devoirs envers cette cité.
Là, c'est décrit cent fois, le regard d'Allah perce.
Lassé des cris sans foi, l'heureux garda la Perse.
Cher, cher athée errant, seul, ivre d'aise irai
Chercher à Téhéran ce livre désiré.
Ah! par une aide à l'âme est, dit-on, le message
Apparu, né d'Allah. Méditons-le, mes sages.
David P. Massot
Trouvé sur ce très chouette site, tourné vers les jeux de lettres et de langue :
http://bric-a-brac.org/lettres/olorimes.php
dimanche 15 janvier 2012
Pas plus tard qu'hier,
on a visionné deux films de toute beauté, dont à propos desquels je recommande vivement, même qu'ils sont tous les deux de 2007, mais on l'a pas fait exprès.
Un très inquiétant d'abord, surtout avec çui-là, là, Viggo Mortensen, qui fait peur rien qu'à mettre ses lunettes noires.
Crédit photo : trouvé sur http://chezpapito.over-blog.com/article-13696578.html
Il y est question de Londres, de la mafia russe, et d'une sage-femme qui veut savoir qui était l'adolescente morte dans son service, en accouchant d'une petite fille...
C'est vraiment un très bon moment, dû à David Cronenberg (en ce moment à l'affiche avec "a dangerous method").
Interdit aux - de 12 ans, ça saigne pour de bon, des fois...
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110222.html
Ensuite, changement de style, de pays, on part là où chavirent les coeurs et les paquebots de luxe.
Sur Allociné, ils disent ça mieux que moi, et j'ai la flemme, même le copier-coller me coûte.
Synopsis et détails "Accio, La Teigne, crée le désespoir de ses parents. Il est farouche, polémique, bagarreur et a les nerfs à fleur de peau. Il agit par instinct, vivant chaque bataille comme une guerre. Son frère Manrico est beau, charismatique, aimé de tous, mais tout aussi dangereux...
Dans la province italienne des années 60 et 70, les deux jeunes hommes se battent sur deux fronts politiques opposés, ils aiment la même femme, Francesca, et traversent, dans une confrontation sans fin, une période de leur vie faite de fugues, de retours, d'échanges de coups et de grandes passions.
C'est l'histoire de leur parcours pendant 15 ans d'une histoire italienne. Accio et Manrico, deux frères très différents, mais peut-être pas tant que ça..."
J'irais jusqu'à dire que c'est un très bon film, quant à moi. Très sensible, avec un background d'arrière-plan sociétal très crédible.
Et la petite amoureuse des deux frangins, jouée par Diane Fleri, est délicieuse de vraie-fausse naïveté.
Un très inquiétant d'abord, surtout avec çui-là, là, Viggo Mortensen, qui fait peur rien qu'à mettre ses lunettes noires.
Crédit photo : trouvé sur http://chezpapito.over-blog.com/article-13696578.html
Il y est question de Londres, de la mafia russe, et d'une sage-femme qui veut savoir qui était l'adolescente morte dans son service, en accouchant d'une petite fille...
C'est vraiment un très bon moment, dû à David Cronenberg (en ce moment à l'affiche avec "a dangerous method").
Interdit aux - de 12 ans, ça saigne pour de bon, des fois...
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110222.html
Ensuite, changement de style, de pays, on part là où chavirent les coeurs et les paquebots de luxe.
Sur Allociné, ils disent ça mieux que moi, et j'ai la flemme, même le copier-coller me coûte.
Synopsis et détails "Accio, La Teigne, crée le désespoir de ses parents. Il est farouche, polémique, bagarreur et a les nerfs à fleur de peau. Il agit par instinct, vivant chaque bataille comme une guerre. Son frère Manrico est beau, charismatique, aimé de tous, mais tout aussi dangereux...
Dans la province italienne des années 60 et 70, les deux jeunes hommes se battent sur deux fronts politiques opposés, ils aiment la même femme, Francesca, et traversent, dans une confrontation sans fin, une période de leur vie faite de fugues, de retours, d'échanges de coups et de grandes passions.
C'est l'histoire de leur parcours pendant 15 ans d'une histoire italienne. Accio et Manrico, deux frères très différents, mais peut-être pas tant que ça..."
J'irais jusqu'à dire que c'est un très bon film, quant à moi. Très sensible, avec un background d'arrière-plan sociétal très crédible.
Et la petite amoureuse des deux frangins, jouée par Diane Fleri, est délicieuse de vraie-fausse naïveté.
De Daniele Luchetti,
inspiré du roman "Il fasciocomunista d'Antonio Pennacchi" (2003).
Là où il n'y a pas de justice, c'est que celui-ci n'avait attiré à l'époque "que" 150 000 spectateurs (ce qui est très bien), mais Cronenberg réalisait 800 000 entrées... Pour moi, ce sont deux films d'un égal grand intérêt...
mercredi 11 janvier 2012
Avant que ça ne tourne mal pour eux,
"Va z-y, gueule comme un cochon !"... il y a cette scène de l'arrivée dans le village et la rencontre avec le joueur de banjo...
"Délivrance", de John Boorman, 1972.
"Délivrance", de John Boorman, 1972.
dimanche 8 janvier 2012
Une famille italienne
entre Sardaigne et Milanais.
… « Elle pense même que nous devons lui être reconnaissants parce qu’elle a pris sur elle tout le désordre qui peut-être serait retombé sur papa ou sur moi. D’après maman en effet, dans une famille, le désordre doit s’emparer de quelqu’un parce que la vie est ainsi faite, un équilibre entre les deux sinon le monde se sclérose et s’arrête. Si nos nuits sont sans cauchemars, si le mariage de papa et maman a toujours été sans nuages, si j’épouse mon premier amour, si nous ne connaissons pas d’accès de panique et ne tentons pas de nous suicider, de nous jeter dans une benne à ordures ou de nous mutiler, c’est grâce à grand-mère qui a payé pour nous tous. Dans chaque famille, il y a toujours quelqu’un qui paie son tribut pour que l’équilibre entre ordre et désordre soit respecté et que le monde ne s’arrête pas. »…
Mal de pierres, chap. 18
Milena AGUS
Trad. De l’italien, D. VITTOZ
… « Elle pense même que nous devons lui être reconnaissants parce qu’elle a pris sur elle tout le désordre qui peut-être serait retombé sur papa ou sur moi. D’après maman en effet, dans une famille, le désordre doit s’emparer de quelqu’un parce que la vie est ainsi faite, un équilibre entre les deux sinon le monde se sclérose et s’arrête. Si nos nuits sont sans cauchemars, si le mariage de papa et maman a toujours été sans nuages, si j’épouse mon premier amour, si nous ne connaissons pas d’accès de panique et ne tentons pas de nous suicider, de nous jeter dans une benne à ordures ou de nous mutiler, c’est grâce à grand-mère qui a payé pour nous tous. Dans chaque famille, il y a toujours quelqu’un qui paie son tribut pour que l’équilibre entre ordre et désordre soit respecté et que le monde ne s’arrête pas. »…
Mal de pierres, chap. 18
Milena AGUS
Trad. De l’italien, D. VITTOZ
samedi 7 janvier 2012
Allez ! En route pour l'immortalité !
Chaque heure que nous vivons, nous gagnons 3 minutes d'espérance de vie.
Problème méta-moitié-physique :
Peut-on dire pour autant, que lorsque nous gagnerons une heure d'espérance de vie pour chaque heure vécue, nous serons immortels ?
En réalité, dans la mesure où l'on considère que plus le temps passe, et plus le gain horaire de vie s'allonge, on y sera avant ça, mais à quel moment ?
Problème méta-moitié-physique :
Peut-on dire pour autant, que lorsque nous gagnerons une heure d'espérance de vie pour chaque heure vécue, nous serons immortels ?
En réalité, dans la mesure où l'on considère que plus le temps passe, et plus le gain horaire de vie s'allonge, on y sera avant ça, mais à quel moment ?
"...Si avec Charlotte tu vas plus loin,
Mets d'la cancoillotte sur l'traversin
J'te jure mon pote ce truc, c'est dingue,
Ça t'fout l'vertige pour le bastringue !
Mais va pas l'dire aux estrangers,
Sinon ils viendraient nous la piquer,
Alors fini, la cancoillotte,
On n'l'a trouverait qu'dans les sex-shops !..."
Et encore...
Tous deux issus de...
(1978)
J'te jure mon pote ce truc, c'est dingue,
Ça t'fout l'vertige pour le bastringue !
Mais va pas l'dire aux estrangers,
Sinon ils viendraient nous la piquer,
Alors fini, la cancoillotte,
On n'l'a trouverait qu'dans les sex-shops !..."
Et encore...
Tous deux issus de...
(1978)
mercredi 4 janvier 2012
Non, Edvard Munch n'a pas fait que peindre, et dans sa peinture, il n'y a pas que "le cri"
Il a beaucoup photgraphié, et laissé moult dessins aussi.
On en sait plus sur ce type, en passant par Beaubourg où une grande et belle expo lui est consacrée. En mourant, en 1944, il léguait à la municipalité d'Oslo plus de mille peintures, dix-huit mille gravures et près de cinq mille aquarelles et dessins. Avec ce legs, en 1963, pour le centenaire de sa naissance, ils ont créé le Munch Museet. C'est essentiellement à partir de ce fonds que l'expo a été construite.
On y constate qu'il était préoccupé par sa propre apparence (il s'est fréquemment représenté en peinture, et pris de nombreuses fois en photo, sous un angle souvent identique, et peu ou pas souriant).
Il avait aussi des sujets qui lui tenaient à coeur, un peu obsessionnels, par delà les années, comme cette "jeune femme en pleurs", dont il réalisa des copies diverses à partir d'une photo prise par lui en 1907.
Ce tableau date de cette même année 1907.
Les "jeunes filles sur le pont" sont un autre thème récurrent dans son oeuvre.
En 1902.
En 1927
Le fameux "cri" a fait également l'objet de nombreuses reprises. Ces thèmes permettent de voir évoluer son style selon les périodes de sa vie ("Le cri" n'est pas présenté à beaubourg)
Les sujets qu'il aborde reflètent le caractère tourmenté de Munch : le deuil, la violence, la maladie, la solitude y reviennent fréquemment. Les portraits sont aussi souvent fantomatiques, déformés jusqu'à ressembler à des spectres.
L' "enfant malade" 4ème version sur ce thème
"Soirée sur l'avenue Karl-Johan", 1892
Quelques oeuvres sont empreintes de plus d'optimisme...
"Le soleil", 1910-1913 (série préparatoire à une grande oeuvre murale pour l'université d'Oslo)
Il ne reste que 5 jours pour voir cet ensemble de 140 oeuvres diverses...
On en sait plus sur ce type, en passant par Beaubourg où une grande et belle expo lui est consacrée. En mourant, en 1944, il léguait à la municipalité d'Oslo plus de mille peintures, dix-huit mille gravures et près de cinq mille aquarelles et dessins. Avec ce legs, en 1963, pour le centenaire de sa naissance, ils ont créé le Munch Museet. C'est essentiellement à partir de ce fonds que l'expo a été construite.
On y constate qu'il était préoccupé par sa propre apparence (il s'est fréquemment représenté en peinture, et pris de nombreuses fois en photo, sous un angle souvent identique, et peu ou pas souriant).
Il avait aussi des sujets qui lui tenaient à coeur, un peu obsessionnels, par delà les années, comme cette "jeune femme en pleurs", dont il réalisa des copies diverses à partir d'une photo prise par lui en 1907.
Ce tableau date de cette même année 1907.
Les "jeunes filles sur le pont" sont un autre thème récurrent dans son oeuvre.
En 1902.
En 1927
Le fameux "cri" a fait également l'objet de nombreuses reprises. Ces thèmes permettent de voir évoluer son style selon les périodes de sa vie ("Le cri" n'est pas présenté à beaubourg)
Les sujets qu'il aborde reflètent le caractère tourmenté de Munch : le deuil, la violence, la maladie, la solitude y reviennent fréquemment. Les portraits sont aussi souvent fantomatiques, déformés jusqu'à ressembler à des spectres.
L' "enfant malade" 4ème version sur ce thème
"Soirée sur l'avenue Karl-Johan", 1892
Quelques oeuvres sont empreintes de plus d'optimisme...
"Le soleil", 1910-1913 (série préparatoire à une grande oeuvre murale pour l'université d'Oslo)
Il ne reste que 5 jours pour voir cet ensemble de 140 oeuvres diverses...
lundi 2 janvier 2012
"Ses manières hospitalières
avaient disparu jusqu'à la plus infime bribe et elle me regardait comme se regardent les amants quand ils se rendent compte que rien d'aussi apaisant ne leur arrivera plus jamais, rien d'aussi fracassant, et que tout ce qu'on peut espérer en ce monde de coeurs en miettes, c'est d'aimer les morceaux."
Mister Butterfly, chap 13.
Howard Buten,
Trad. J.P. Carasso
Mister Butterfly, chap 13.
Howard Buten,
Trad. J.P. Carasso
dimanche 1 janvier 2012
Mariage
"Le mariage n'est plus ce qu'il était.
Quand je rencontre un homme, la question que je me pose, c'est :
- Est-ce que c'est avec lui que j'ai envie que nos enfants passent un week-end sur deux ?"
Rita Rudner
Quand je rencontre un homme, la question que je me pose, c'est :
- Est-ce que c'est avec lui que j'ai envie que nos enfants passent un week-end sur deux ?"
Rita Rudner
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