Quant aux dentelles saturées d'un surtoi de paroles
Enchanteresses
On n'entend rien quand tu souris,
Ça dépasse l'entendement,
Et les tramontanes
Que l'autre avait perdues dans ses jadis anciens
Sa déesse en sabots et sa princesse hellène
Mais moi, de ton babil si fertile que ferai-je vibrant
Qui émeut et noue écoeure les fils de nos émois
Le clouerai-je à mon front pour l'arborer fumant ?
L'immolerai-je au saut du lit quand tu me fredonnes folâtre
Les derniers ors de ta nuit ?
Que ferons nous de ces apesanteurs qui s'immiscent
Aux creux de ces suspens
Qui sont là
Entre ta joue
Et mon épaule
Doux et clairs comme ces silences rassurants
Et nappent l'avenir
Filons de vent !
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