mardi 29 mai 2012

La vie au grand air

A la déambule aléatoire, on croise des tas de trucs, plus ou moins sots, variablement grenus, qui nous laissent des fois pantois de béance subjuguée. Mais le plaisir de la surprise est souvent là, au détour du chemin.
















Veit STRATTMANN, sans titre, (pièce pour Hellerau) , 1996

Je me souviens plus, pis des fois, il n'y a plus de panneau qui dit. Mais c'était beau, et très incongru.

Pareil en moins beau.

Le fameux mur de Andy Goldsworthy, qu'on aime bien, mais ses livres de photos sont trop chers, ils croivent qu'on est riche, ou quoi ?

Sans titre, 1992


Pour dire qu'on a rien de systématique ou de primaire à l'encontre du soleil levant, ou, autrement dit, qu'une paire de nippons rapprochés ne forment pas systématiquement un ensemble harmonieux, ceci est d'un type bridé à l'imagination débridée, dont qui s'appelle Kimio Tsuchiya, qui nous enchanta bien la goule, quant à lui.
Eternity, 1990

Du même, à deux pas, mais dans les fourrés,

Ever, 1990

Devant tant de beauté, nous fûmes pris d'une fièvre créatrice...


Qui travaille même les fourmis qui font des montescules gigantiques...

C'est l'éco-signe d'une bonne qualité de l'air, et nous conclurons qu'aller en prendre un sacré bol ne peut que raffermir le bon sens. (CSC)*
Et que cette île est de toute évidence un endroit où nul ne bulle ni ne s'encroûte. (NCSC)

*Certifié sans contrepèterie

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