J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
dimanche 27 novembre 2011
Au bas d'un portrait photographique de lui, Gérard de Nerval écrivit : « Je suis l'autre. »
Ce bouquin (une longue nouvelle de 100 pages) évoque la fin tragique du poète, retrouvé pendu dans une des rues les plus sordides du Paris de janvier 1855, sans qu'on sache s'il s'était accroché seul ou avec de l'aide. Il souffrait de troubles mentaux et se croyait victime d'un autre lui-même, un dédoublement de sa personne... L'intérêt de ce petit roman réside dans ce que l'essentiel des faits insérés sont historiquement avérés. Un parallèle curieux est fait avec la fin également mystérieuse d'Edgar Allan Poe, des liens étonnants (des hasards ?) rapprochant les deux histoires.
Gérard de Nerval par Nadar
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