La preuve par la carte :
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/06/29/combien-de-fois-le-tour-de-france-a-t-il-traverse-votre-departement_5153251_4355770.html
(veuillez cliquer svp avec votre doigt, pour savoir)
Ce qui me rappelle ( mais dites moi quel est le lien !...) une remarque de Patrick Font à propos de la mort de Claude François qui s'était électrocuté dans sa baignoire en changeant une ampoule grillée :
"Pour une fois qu'un service public rend service au public !"
Hein ! Dites moi !
J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
jeudi 29 juin 2017
Des forums sur le net parlant de PMA
mercredi 28 juin 2017
De la bipolarité
par le professeur Bourin, de Nantes.
"Des oscillations d'humeur, souvent de nature dépressive..."
Une heure de conférence sur les façons de définir la maladie (qui semble se répandre), le degré de gravité de celle-ci et les thérapies variées et graduées qu'on peut lui appliquer.
A rapprocher de cet étonnant témoignage, sous forme de BD :
"Des oscillations d'humeur, souvent de nature dépressive..."
Une heure de conférence sur les façons de définir la maladie (qui semble se répandre), le degré de gravité de celle-ci et les thérapies variées et graduées qu'on peut lui appliquer.
A rapprocher de cet étonnant témoignage, sous forme de BD :
mercredi 21 juin 2017
L'amant d'un jour, de Philippe Garrel
Un film court (1h15) en noir et blanc, qui mêle deux relations amoureuses, avec des filles de 23 ans, qui au départ ne se connaissent pas. La première vient de se faire larguer par son petit ami, elle se réfugie chez son père où elle rencontre la seconde, qui est l'amante de son père prof de fac. Le film raconte l'amitié des deux femmes, mais il y a en réalité une forme de concurrence qui s'installe entre elles et qui se résoudra tranquillement par une normalisation dramatique pour certains des personnages.
Sorti le 31 mai 2017.
J'ai franchement bien aimé.
Louise Chevillotte, l'étudiante amante de son prof de fac, est très séduisante avec ses jolies taches de rousseur, et Caravaca très crédible en prof de fac, intello à principes...
Sorti le 31 mai 2017.
J'ai franchement bien aimé.
Louise Chevillotte, l'étudiante amante de son prof de fac, est très séduisante avec ses jolies taches de rousseur, et Caravaca très crédible en prof de fac, intello à principes...
mardi 20 juin 2017
Une nouvelle assemblée... sans ouvrier, pour décider du prochain code du travail
Un article de bastamag.net
La nouvelle Assemblée s’est fortement renouvelée. Elle est un peu plus jeune que la précédente, et la proportion de femmes continue de progresser, même si la parité est encore éloignée. Mais ce renouvellement ne concerne pas tout le monde : les catégories populaires y sont faiblement représentées et les ouvriers totalement absents. Un problème de taille quand les députés seront amenés à légiférer rapidement sur les conditions de travail et les protections sociales. Sans oublier l’énorme abstention qui marque le début de cette nouvelle législature.
La nouvelle Assemblée s’est fortement renouvelée. Elle est un peu plus jeune que la précédente, et la proportion de femmes continue de progresser, même si la parité est encore éloignée. Mais ce renouvellement ne concerne pas tout le monde : les catégories populaires y sont faiblement représentées et les ouvriers totalement absents. Un problème de taille quand les députés seront amenés à légiférer rapidement sur les conditions de travail et les protections sociales. Sans oublier l’énorme abstention qui marque le début de cette nouvelle législature.
lundi 19 juin 2017
Bon, allez-y vous expliquer à ces enfants argentins que c'est un gentil pape progressiste...
Après de premières révélations sur des évêques français, Mediapart publie de nouvelles informations concernant le pape François.
Cette fois, c'est le pape François qui est directement concerné. La vague de publications de Mediapart et de Cash investigation sur des affaires de pédophilie dans l'Eglise se poursuit ce mardi. D'après le site d'investigation, le souverain pontife aurait tenté, alors qu'il était en poste à Buenos Aires, d'influencer le travail de la justice pour faire innocenter un prêtre condamné pour pédophilie.L'article complet, ici.
Alpha dog, de Nick Cassavetes
Un excellent thriller dramatique, tiré d'un fait divers. Les errances d'une jeunesse dorée de L.A., complètement coupée de la vraie vie par les artifices de l'argent, et des consommations hallucinogènes. Rattrapée par une réalité cruelle qui dépasse soudain tous ces jeunes gens...
Le film est mené comme une enquête, chaque témoin du drame est numéroté comme pour l'investigation. Et comme dans beaucoup de films adaptés de faits réels, on apprend à la fin, par un défilement de texte, ce que sont devenus les protagonistes dans la vraie vie.
C'est un film fort, qui laisse pantois, devant ces destins brisés si stupidement.
Un film sorti en mars 2007.
Le film est mené comme une enquête, chaque témoin du drame est numéroté comme pour l'investigation. Et comme dans beaucoup de films adaptés de faits réels, on apprend à la fin, par un défilement de texte, ce que sont devenus les protagonistes dans la vraie vie.
C'est un film fort, qui laisse pantois, devant ces destins brisés si stupidement.
Un film sorti en mars 2007.
dimanche 18 juin 2017
Un dessin qui ne vieillit pas !
Evidemment, c'est plus ou moins vrai selon les secteurs!
c'est incontestable dans la première circonscription de l'Essonne. Les magouilleurs qui n'ont pas de parole n'ont rien à faire dans l'hémicycle...
Je me souviens (45)
qu'un jour de lycée, en terminale à Laval, mon excellent ami, qui l'est resté depuis, avait fait un commentaire sur les disques vinyles que je venais de lui rendre, après lui avoir empruntés quelques jours.
"Ils sont tous rayés, t'as laissé tomber un râteau dessus, ou quoi ?"
Or, il se trouve que, juste avant venait de se concrétiser la séparation d'avec ma copine de ces temps-là, qui me faisait bien de la misère (la séparation, pas la copine...). Je me suis mis à pleurer avec des vrais sanglots devant le copain qui ne comprenait pas cette réaction excessive...
Du reste, c'était pour me chambrer, les disques étaient nickel...
"Ils sont tous rayés, t'as laissé tomber un râteau dessus, ou quoi ?"
Or, il se trouve que, juste avant venait de se concrétiser la séparation d'avec ma copine de ces temps-là, qui me faisait bien de la misère (la séparation, pas la copine...). Je me suis mis à pleurer avec des vrais sanglots devant le copain qui ne comprenait pas cette réaction excessive...
Du reste, c'était pour me chambrer, les disques étaient nickel...
mercredi 14 juin 2017
Du FN à l'aide au migrants de Calais : histoire d'une femme de coeur
Où le coeur rejoint la raison, car cette femme, Béatrice Huret, avait été chamboulée par la misère de la jungle avant de rencontrer l'iranien Moktar.
Béatrice Huret
Béatrice Huret
lundi 12 juin 2017
dimanche 11 juin 2017
A mon tour d'être embarqué par le fleuve Ferrante
J'ai évidemment voulu voir si la magie dont parlent tous ses lecteurs opérait sur moi. La réponse est positive, très même.
Passionnante cette amitié entre deux fillettes, issues de milieux très modestes dans une banlieue napolitaine de la fin des années 50. Les portraits sont fins, très complexes -les personnages ont souvent des réactions inattendues-, tirés vraisemblablement de personnages réels, puisque l'auteur, dont l'identité réelle n'est pas encore connue certainement, a reconnu à ses oeuvres "une inspiration autobiographique".
En tout cas un magnifique portrait de fillette indomptable, la petite Lila, qui me fait penser tout à coup -mais de loin quand même- à la personnalité marginale de Lisbeth Salander, chez Stieg Larsson. Leurs réponses aux oppressions diverses ne sont pas les mêmes, mais il y a des traits psychologiques -et physiques- qu'elles partagent.
Courez chez votre libraire voir ce livre ! J'irai quant à moi chercher "le nouveau nom", la suite de ce roman italien.
Passionnante cette amitié entre deux fillettes, issues de milieux très modestes dans une banlieue napolitaine de la fin des années 50. Les portraits sont fins, très complexes -les personnages ont souvent des réactions inattendues-, tirés vraisemblablement de personnages réels, puisque l'auteur, dont l'identité réelle n'est pas encore connue certainement, a reconnu à ses oeuvres "une inspiration autobiographique".
En tout cas un magnifique portrait de fillette indomptable, la petite Lila, qui me fait penser tout à coup -mais de loin quand même- à la personnalité marginale de Lisbeth Salander, chez Stieg Larsson. Leurs réponses aux oppressions diverses ne sont pas les mêmes, mais il y a des traits psychologiques -et physiques- qu'elles partagent.
Courez chez votre libraire voir ce livre ! J'irai quant à moi chercher "le nouveau nom", la suite de ce roman italien.
mercredi 7 juin 2017
A Périgueux, un bar solidaire : "Au sourire"
Une initiative à la fois simple dans le fonctionnement, efficace, festive et solidaire.
Isabelle Murat était la patronne de Chez Zaza mais en 2010 elle a baissé le rideau pour raison de santé. Et la voilà de retour dans son bar devenu solidaire rebaptisé Au Sourire. Elle à fait appel à la générosité pour que revive ce bar de quartier très convivial. Le lieu est ouvert à tous gratuitement pour des réunions, des ateliers, des petits déjeuners ou des repas de groupes. Seules conditions : prendre les consommations au bar et faire un don en aliments ou en produits d'hygiène qui seront revendus 1 euro. Isabelle met à disposition une plaque de cuisson, un four micro-ondes et un réfrigérateur. Elle a même installé un flipper.
49, route de Bergerac
24000 Périgueux
Prochaine revente des produits collectés : le samedi 10 juin, de 9h30 à 19h30.
https://www.facebook.com/muratisabelle/
Zaza Murat.
Vélorution périgourdine a adopté le lieu et le concept...
Isabelle Murat était la patronne de Chez Zaza mais en 2010 elle a baissé le rideau pour raison de santé. Et la voilà de retour dans son bar devenu solidaire rebaptisé Au Sourire. Elle à fait appel à la générosité pour que revive ce bar de quartier très convivial. Le lieu est ouvert à tous gratuitement pour des réunions, des ateliers, des petits déjeuners ou des repas de groupes. Seules conditions : prendre les consommations au bar et faire un don en aliments ou en produits d'hygiène qui seront revendus 1 euro. Isabelle met à disposition une plaque de cuisson, un four micro-ondes et un réfrigérateur. Elle a même installé un flipper.
49, route de Bergerac
24000 Périgueux
Prochaine revente des produits collectés : le samedi 10 juin, de 9h30 à 19h30.
https://www.facebook.com/muratisabelle/
Zaza Murat.
Vélorution périgourdine a adopté le lieu et le concept...
mardi 6 juin 2017
L'amant double, de François Ozon
Ozon fait son Cronenberg.
Je n'ai fait que penser à ce film où Jeremy Irons joue le rôle de deux frères jumeaux gynécologues qui partagent tout, même les conquêtes féminines, jusqu'à ce que l'un des deux tombe amoureux d'une fille et refuse la co-relation.
Chez Ozon, la gémellité est présentée en miroir, car l'héroïne semble chercher chez le psy dont elle tombe amoureuse, en lui inventant un frère jumeau, une solution à son propre problème d'identité, reliée à une anomalie de procréation gynéco (elle a absorbé le foetus de sa soeur pendant la grossesse, ça se peut, cela s'appelle la "gémellité parasite"...)
Tout est double et trouble dans cette histoire. Les flash-backs et les scènes rêvées ne facilitent pas le décryptage. De plus, les amants doubles sont tous les deux psychiatres de profession, et d'une certaine façon, cela complexifie le propos, en autorisant toutes les psycho-interprétations filmées. Il y a beaucoup de clins d'oeil aux références du cinéma, qui n'embarrassent pas la narration, je ne suis pas d'accord avec le critique du masque et la plume (Eric Neuhoff) qui s'en plaint (émission du 4 juin dernier).
Je dis qu'on peut aller voir cette étonnante curiosité, avec une magnifique Marine Vacth.
Jeremy Renier en "Louis", l'amant carnassier, et Chloé, la femme qui se cherche (Marine Vacth)
Je n'ai fait que penser à ce film où Jeremy Irons joue le rôle de deux frères jumeaux gynécologues qui partagent tout, même les conquêtes féminines, jusqu'à ce que l'un des deux tombe amoureux d'une fille et refuse la co-relation.
Chez Ozon, la gémellité est présentée en miroir, car l'héroïne semble chercher chez le psy dont elle tombe amoureuse, en lui inventant un frère jumeau, une solution à son propre problème d'identité, reliée à une anomalie de procréation gynéco (elle a absorbé le foetus de sa soeur pendant la grossesse, ça se peut, cela s'appelle la "gémellité parasite"...)
Tout est double et trouble dans cette histoire. Les flash-backs et les scènes rêvées ne facilitent pas le décryptage. De plus, les amants doubles sont tous les deux psychiatres de profession, et d'une certaine façon, cela complexifie le propos, en autorisant toutes les psycho-interprétations filmées. Il y a beaucoup de clins d'oeil aux références du cinéma, qui n'embarrassent pas la narration, je ne suis pas d'accord avec le critique du masque et la plume (Eric Neuhoff) qui s'en plaint (émission du 4 juin dernier).
Je dis qu'on peut aller voir cette étonnante curiosité, avec une magnifique Marine Vacth.
Jeremy Renier en "Louis", l'amant carnassier, et Chloé, la femme qui se cherche (Marine Vacth)
Inscription à :
Articles (Atom)