On a choisi un itinéraire avec des obstacles barbelés, mais personnellement, je n'ai rien contre, ça me rappelle mes randos à vélos, quand je m'égare dans les campagnes...
Notez ci-dessus, la peau de phoque d'Olivier, qui traîne anormalement à l'avant de son ski. Bon, faut dire qu'il m'avait laissé le bon matos, le sien, et qu'il avait ressorti pour lui des vieux trucs qui s'avérèrent être dans un état proche de l'Ohio. C'est un copain, Olivier, ok ?
A mesure qu'on montait, le soleil faisait des sorties plus franches, et sur le sentier, on trouva des promeneurs en petits groupes, parmi lesquels je reconnus une copine d'il y a 25 ans de ça. Séquence Emotion.
A un moment, on monte dans les bois, c'est un peu raide et rude, mais le cadre est magique. On atteint une première cabane refuge, puis, en sortant au-dessus des bois, une seconde, et là on s'arrête, parce que ce ne serait plus raisonnable. Les avalanches guettent les promeneurs imprudents.
Là, je m'ai enlevé la tête, car par expérience, je sais que quand je souris trop fort, les enfants qui me voient font des cauchemars, et les jeunes filles s'enfuient en levant les bras au ciel . D'un autre côté, faut pas que je me promène trop comme ça non plus. D'un dernier côté (y'a quelqu'un que la multiplicité des côtés défrise ?) je pourrai postuler comme figurant dans Sleepy Hollow II.
Là, mon copain, il défait ses peaux de sous ses skis, ou plutôt ce qu'il en reste.
Pour conclure de façon originale, je dirais que tout ceci était fort beau, mais faut aimer le blanc.
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