seulement par la force de l'inertie, l'élan qui vous mène sans qu'on l'ait vraiment consenti. Ce fut le cas de cette lecture du troisième tome du 1Q84, achevée parce que sur la lancée des deux précédents. mais vraiment non, je ne souscris pas à ces histoires de MOTHER, DAUGHTER, Little People et autres lunes doubles... Dieu pourtant sait, lui qui n'ignore pas n'exister que dans l'imagination des plus fragiles d'entre nous, que j'aimis* les fantaisies fantasmagoriques du bon Murakami (Haruki - le mauvais étant l'inventeur des horreurs en plastique un temps exposées à Versailles - Takashi)
Une surprise moyenne au bout de ce troisième épisode : on n'est pas au bout du fleuve, je crains que l'estuaire ne soit encore loin...
*Du verbe aimir = aimer sans retenue
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