Rassemblant tes envies
Cours à la mise en bière
Souffre qu'ils te vomissent
Des bas vers élégants
Quand, aux pieux souhaits
D'été, par des relents
Répulsifs et gerbants
Tu connaîtras quelques tourments,
N'oublie pas de les déterrer
Ils sont à vomir
Les courts espoirs atrophiés
S'inclinent comme des monts
Léchés telles femelles grasses
Sucées les chairs mortes et fades
Le ressort de vanter tes nerfs effilés
S'appuie comme branle au vent,
Pend lamentablement et tu pleures :
"Oubliez-moi !"
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