Mais tout d'abord, petit passage chez Victor BRAUNER, dont le musée a fait l'acquisition au fil des ans, d'un fonds très riche. Peinture très marquée par le surréalisme...
Il lui est arrivé un truc bizarre dans sa vie :
Pour les spécialistes, cette obsession de Victor Brauner pour l’œil qui n’est plus logé dans la cavité orbitaire sera prémonitoire. En 1931, il peint – alors qu’il veut échapper à l’ennui, selon ses dires – un « Autoportrait à l’œil énucléé ». Sept ans plus tard, alors qu’il s’interpose dans une bagarre des peintres surréalistes, il perd effectivement l’œil gauche.
La blessure avait exactement les mêmes apparences que celle du dessin, avoue par la suite Victor Brauner. « Peindre, c’est la vie, la vraie vie, ma vie », renchérira t-il, des mots qui se retrouveront également sur sa pierre tombale du cimetière de Montmartre, où l’artiste repose depuis 1966.
Rapporté ici !
La mère des rêves (1965)
Je ne connaissais pas Henri CUECO, peintre corrézien, fils d'émigré espagnol, qui "monta" à Paris à 18 ans en 1947, et fit la connaissance des artistes de "la Ruche" (ce nid d'artistes qu'on ne peut toujours pas visiter aujourd'hui, alors que soixante créateurs y sont encore installés dans le XVème arrondissement…)
Les mariés (1960 - 1965)
Bicyclette (1953)
Nature morte à la cafetière, 1957
Femme et mouton (1966 - 1967)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
postiches