Une émission radicalement utile qui ouvre les yeux sur le quotidien des femmes noires ou d'origine arabe, leurs difficultés réitérées, et leurs luttes "spécifiques"...
Les témoignages s'accumulent se télescopent et se répondent pour créer un paysage assez cohérent. Elles ne peuvent pas se reconnaître dans les mouvements féministes dominants de France (dominés en grande majorité par des personnes blanches et de milieux relativement aisés) car personne ne connaît leurs difficultés propres.
Et puis...
Il faut écouter le témoignage de cette jeune femme qui est tatouée, a des piercings, se dit féministe, militante progressiste, musulmane et qui revendique la liberté de porter le voile islamique.
Elle dit entre autres choses passionnantes :
"Mon voile m'a permis de me sentir belle"
"J'ai porté un voile anti-consommation, anti-capitaliste"
"J'ai un voile très féministe aujourd'hui, puisque je me bats pour le porter comme je l'entends"
...
A partir de 44'45.
Ces points de vue sont bienvenus dans le cadre du débat ridicule sur le port du burkini sur les plages.
Par parenthèses, la France est la risée du monde entier grâce à ces fachos ou lécheurs de fachos. On peut sûrement excepter la Pologne et la Hongrie...
J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
samedi 27 août 2016
jeudi 25 août 2016
Rebecca de Daphné Du Maurier
Je recommande de nouveau la prose précise et inspirée de Daphné Du Maurier, qui a écrit en 1938 cette histoire dans laquelle vous vous plongerez, comme moi sans doute, avec délectation.
Je n'ai pas souvenir d'avoir abîmé un livre à ce point là depuis que je fus naqui. La couverture est partie en autonomie.
Ce n'est pas que je l'ai dévoré pour de vrai mais il a passé l'été dans mon sac, en particulier sur les chemins des Cinqueterre, au sud de Gênes, où il a bien souffert.
Je choisis un résumé quelque part dans la toile ;
"Angleterre, début du XXe siècle, Maximilien de Winter, propriétaire du domaine de Manderley est veuf depuis que son épouse Rebecca s’est noyée. Séjournant à Monaco, il y rencontre une jeune femme de chambre, timide et peu sûre d’elle. La courtisant, il décide de l’épouser. Mrs de Winter se retrouve alors à la tête d’un des plus beaux domaines du nord de l’Angleterre. Le conte de fée tourne bientôt au cauchemar lorsqu’elle s’aperçoit que Rebecca n’est pas tout à fait morte et qu’elle semble toujours hanter le manoir."
Par Sarah Hafiz
La suite ici : http://www.leboudoirdesarah.fr/rebecca-daphne-du-maurier-un-chef-doeuvre-du-roman-gothique/
Ce récit haletant et plein de surprises jusqu'au dernier paragraphe, exerce un charme puissant. On comprend que Hitchcock ait succombé à ces beautés pleines de suspense. J'ai aimé en particulier la description des éléments naturels, le temps qu'il fait, la nature (les massifs exubérants dans le parc du château...) les jeux d'eau de la mer toute proche. Ce cadre narratif me semble déterminant pour l'installation d'une ambiance riche en mystères et quasiment magique. Comme dans les romans de Thomas Hardy, ces micro-événements naturels accompagnent le récit et semblent y prendre une part déterminante...
La version de Hitchcock m'a déçue, car elle ne colle pas parfaitement au récit de Du Maurier. On peut la voir avec intérêt, mais je ne m'explique pas ces libertés prises avec le roman, quand celui-ci est si parfait...
En tout cas, elle est là, en VOST :
Je n'ai pas souvenir d'avoir abîmé un livre à ce point là depuis que je fus naqui. La couverture est partie en autonomie.
Ce n'est pas que je l'ai dévoré pour de vrai mais il a passé l'été dans mon sac, en particulier sur les chemins des Cinqueterre, au sud de Gênes, où il a bien souffert.
Je choisis un résumé quelque part dans la toile ;
"Angleterre, début du XXe siècle, Maximilien de Winter, propriétaire du domaine de Manderley est veuf depuis que son épouse Rebecca s’est noyée. Séjournant à Monaco, il y rencontre une jeune femme de chambre, timide et peu sûre d’elle. La courtisant, il décide de l’épouser. Mrs de Winter se retrouve alors à la tête d’un des plus beaux domaines du nord de l’Angleterre. Le conte de fée tourne bientôt au cauchemar lorsqu’elle s’aperçoit que Rebecca n’est pas tout à fait morte et qu’elle semble toujours hanter le manoir."
Par Sarah Hafiz
La suite ici : http://www.leboudoirdesarah.fr/rebecca-daphne-du-maurier-un-chef-doeuvre-du-roman-gothique/
Ce récit haletant et plein de surprises jusqu'au dernier paragraphe, exerce un charme puissant. On comprend que Hitchcock ait succombé à ces beautés pleines de suspense. J'ai aimé en particulier la description des éléments naturels, le temps qu'il fait, la nature (les massifs exubérants dans le parc du château...) les jeux d'eau de la mer toute proche. Ce cadre narratif me semble déterminant pour l'installation d'une ambiance riche en mystères et quasiment magique. Comme dans les romans de Thomas Hardy, ces micro-événements naturels accompagnent le récit et semblent y prendre une part déterminante...
La version de Hitchcock m'a déçue, car elle ne colle pas parfaitement au récit de Du Maurier. On peut la voir avec intérêt, mais je ne m'explique pas ces libertés prises avec le roman, quand celui-ci est si parfait...
En tout cas, elle est là, en VOST :
mercredi 10 août 2016
On peut rajouter les coquineries ?
Qui pour moi auraient remplacé l'héroïne...
Les trois copains
Quand vous êtes tout pourri
Que personne ne veut être votre ami
Que vous vivez seul ou en couple desséché
Que votre métier est à chier
Chaque seconde de chaque minute de chaque journée qui passe
Vous laisse dans la bouche un goût dégueulasse
Mais ne croyez pas qu'il n'y a plus d'espoir
Regardez mieux dans vos tiroirs.
Refrain, x4
Vive le chocolat, l'héroine et la vodka
Bien sûr, des gens vous diront
Qu'il y a, ma foi, d'autres solutions
On peut aider les gens sans pied, sans main
Et quelques enfants qui ont faim
Bien sûr ces gens ont raison
Aider son prochain c'est pas si con
Mais quand on est si bas qu'on s'en bat les couilles du prochain
Rien ne vaut vos trois copains
au Refrain, x4
Des études le prouvent il y a mieux pour la santé
Qu'être obèse et se défoncer
Et puis noyer ses soucis ça ne sert à rien
Comme disent les gens qui vont bien.
Adieu Nutella, héroine et Zubrowska
Je vais mourir et vous savez pourquoi
Je vais seule vers ma tombe et pour mieux vous oublier
J'espère qu'on me laissera chanter.
Constance Verluca
Les trois copains
Quand vous êtes tout pourri
Que personne ne veut être votre ami
Que vous vivez seul ou en couple desséché
Que votre métier est à chier
Chaque seconde de chaque minute de chaque journée qui passe
Vous laisse dans la bouche un goût dégueulasse
Mais ne croyez pas qu'il n'y a plus d'espoir
Regardez mieux dans vos tiroirs.
Refrain, x4
Vive le chocolat, l'héroine et la vodka
Bien sûr, des gens vous diront
Qu'il y a, ma foi, d'autres solutions
On peut aider les gens sans pied, sans main
Et quelques enfants qui ont faim
Bien sûr ces gens ont raison
Aider son prochain c'est pas si con
Mais quand on est si bas qu'on s'en bat les couilles du prochain
Rien ne vaut vos trois copains
au Refrain, x4
Des études le prouvent il y a mieux pour la santé
Qu'être obèse et se défoncer
Et puis noyer ses soucis ça ne sert à rien
Comme disent les gens qui vont bien.
Adieu Nutella, héroine et Zubrowska
Je vais mourir et vous savez pourquoi
Je vais seule vers ma tombe et pour mieux vous oublier
J'espère qu'on me laissera chanter.
Constance Verluca
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