Il y a la gueule d'Amalric, dont j'aime l'air hébété comme s'il était constamment consterné, et tous les autres, Karin Viard, Nicole Garcia, Gilles Lelouche, Guillaume de Tonquédec*, André Dussolier et les deux jeunes nanas Marine Vacth (Jeune et jolie, Ce que le jour doit à la nuit) et la non francophone du film Gemma Chan.
Tout ce beau monde s'agite dans ce film virevoltant à loisir, autour d'un héritage disputé : une magnifique maison de famille dont la vente est bloquée par une mesure de préemption contestée. Mathieu Amalric, de passage en France, va replonger dans sa famille, se mêler de cet imbroglio et découvrir des secrets de famille qui changeront sa vie.
Certes, c'est très français comme cinéma, la famille, la maison sont au centre de l'intrigue, mais j'ai bien aimé, c'est savoureux. Il y a vers la fin une grande scène hectique de concert classique où les protagonistes sont très peu attentifs à la musique, préoccupés par leurs intérêts respectifs...
* A l'affiche également de "L'étudiante et Monsieur Henri", film sympa où figure Claude Brasseur en vieux grincheux acariâtre, qui accepte de louer une chambre à une étudiante nécessiteuse, mais sous conditions...
Non, ce n'est pas un vieux libidineux...
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