mercredi 29 juillet 2015

La rue qui parle


























































































































































































































































































































































































































































































































Merci aux auteurs et aux photographes, reconnus (Banksy) ou anonymes...

mardi 28 juillet 2015

Qui c'est qui sait c'est qui, Kevin Houben ?

Bon, c'est un compositeur et trompettiste belge né en 1977.

Comme vous êtes assez pénibles depuis quelques temps, je vous colle l'article de wiki en allemand.

"
Kevin Houben (* 1977 in Bree, Belgien) ist ein belgischer Komponist und Dirigent im Blasmusik-Bereich.
Houben befasst sich bereits seit frühester Jugend mit Musik. Nach seiner Schulzeit im flandrischen Bree ging er ans Lemmens-Institut in Löwen; dort erwarb er einen Abschluss im Fach Trompete. Er spezialisierte sich daneben auch auf Kammermusik und gewann einen ersten Preis in diesem Gebiet. Ein weiteres Diplom erhielt er in Blasorchesterdirektion. Darüber hinaus studierte er Komposition bei Jan Van der Roost und gewann einen ersten Preis in Arrangement bei Kristien de Smet. Danach vertiefte Houben seine Kenntnisse im Kontrapunkt bei Jan Hadermann und in Blasorchesterdirektion bei Edmond Saveniers.
Kevin Houben dirigiert verschiedene Ensembles und arbeitet als freischaffender Musiker in professionellen Ensembles und Orchestern. Unter anderem dirigierte er das Sinfonische Blasorchester des Kreismusikverbandes Westerwald[1] mit Musikern wie Michael Müller, La Köhler und Christopher Schmidt. Seit 2002 unterrichtet er an der Musikakademie von Nord-Limburg.

"
Ah, on fait moins les malins, toudincou !

Il a composé un truc qui sera joué à Périgueux, le27 mai 2016. Lake of the moon, pour brassband.





Dans la programmation de l'Odyssée de périgueux, que je suis en train d'éplucher.

Bon, je me sens riche d'une suspecte mansuétude, mais profitez-en, je vous colle la traduction de reverso, c'est toujours assez rigolo !

"
Kevin Houben (* en 1977 dans Bree, la Belgique) est un compositeur belge et chef d'orchestre dans le domaine de Blasmusik.

Houben s'occupe déjà depuis une première jeunesse de la musique. Après sa période scolaire dans le Bree flamand, il allait à l'institut de Lemmens au lion; là il acquérait une conclusion dans la matière(le sujet,le métier) de trompette. Il se spécialisait à côté de cela aussi sur la musique de chambre et gagnait le premier prix dans ce domaine(région). Il recevait un autre diplôme à la direction d'orchestre à cuivres. En outre, il étudiait la composition chez Jan Van le Roost et gagnait le premier prix dans l'arrangement à Kristien de Smet. Après cela Houben approfondi ses connaissances dans le contrepoint chez Jan Hadermann et à la direction d'orchestre à cuivres chez Edmond Saveniers.

Kevin Houben dirige les ensembles différents et travaille comme musicien indépendant dans des professionnels
"



Mimos 2015


L'ouverture hier soir, due à la compagnie Carabosse.

Une fois la première surprise (déception ?) passée (il n'y aura pas de grande scène spectacle, ou de déambulation, pas d'action particulière...) on a pu savourer l'embrasement général du quartier gallo-romain de la Cité, et l'illumination de ses lieux historiques.































































































































































La complicité par les pieds (34)






Sexualité féminine : que gagnent les filles dans la révolution sexuelle ?

Peut-on vraiment parler de libération ?





L'article source de Télérama.

Que trouve t-on dans les abris sous roche des environs des Eyzies ?

Non, pas des anguilles, j'en ai marre de vos réflexes imbéciles de joueurs de mots inanes.
 
On y trouve une forme de sérénité. OK ?


Mais ça se mérite. Faut se payer des talus inclinés.

























Après un peu de crapahutage, le passage dans un boyau poussiéreux à 4 pattes, on atteint assez vite une terrasse splendide avec vue sur la mer, à marée basse.




















Sur la droite, on aperçoit les Eyzies.
























Il y a trois cavités donnant sur cette plateforme. La seconde est la plus profonde.


















































Pause à Cap Blanc. 8 km au sud des Eyzies. Un abri sous roche montrant des sculptures du néolitihique (- 15000 ans, Magdalénien). Voilà qui nous change des ceintures rupestres et des stalagmitres.


















































Qu'il vous soit seulement permis d'envisager que cette jolie fille a été inhumée au pied de l'abri, et donc des chevaux, qu'elle avait à ses côtés des racloirs qui peuvent avoir servi à la taille d'iceux, qu'on peut donc envisager que cette donzelle a été pour quelque chose dans leur réalisation et que le choix de l'emplacement de sa sépulture peut être une forme d'hommage à ses qualités d'artiste.
Pourquoi 9 fois sur 10, les représentations picturales contemporaines d'hommes peignant les parois en fond de cavité présentent des virilitudes ?
Hein ?

En tout état de cause, celle-ci avait dans les 35 ans, et présentait une denture sans carie... Position phoetale caractéristique de l'époque.

















Les reliques présentées sont des moulages, les américains nous ont piqué (acheté) les vrais reliefs.

Les photos de l'intérieur de l'abri ne sont pas de moi, parce que ces neuneus, ils m'interdirent que j'en prisse.


Fin de parcours à l'abri du fort rouge, qu'en d'autres lunes nous fit découvrir l'ami Pierre. 4 niveaux d'abris sous roche, parfois assez profonds pour qu'on parle de cavités, empilés comme des HLM néolithiques. On est 50 mètres en surplomb au-dessus de la Vézère, mais ça vaut mieux, car si on était en dessous, on parlerait de souplomb, et c'est tellement ridicule que ça n'existe pas.


























On peut observer filoutement des canoeistes, qui rament comme des vaches ou bronzent leur pilule comme des harengs pas encore saurs mais ça chauffe, comme qui dirait.
C'est un lieu privé, on n'a pas le droit d'entrer, ok ? Faut juste écarter le grillage qui barre symboliquement l'entrée de ce petit paradis.








































 Tous ceux qui souhaitent découvrir ces lieux magiques peuvent demander, j'explique tout bien en y adjuvant un village abandonné sous d'autres abris très impressionnants, dans la même proximité des Zeillezies. Autant de lieux que si vous ne savez pas y aller, ben, vous n'irez jamais.