lundi 30 juillet 2012

dimanche 29 juillet 2012

Quelques raisons objectives de ne pas embrasser la religion

Un réquisitoire sans pitié et très argumenté de Michel ONFRAY. Le fatras des textes fondateurs des trois grandes religions monothéistes y est démonté tranquillement, analysé dans la masse des contradictions qu'ils recèlent, et on voit apparaitre l'idéologie sous-jacente de ces entreprises d'oppression des peuples. Sous couvert d'amour et de compassion, c'est d'abord la haine de soi-même, la haine des corps, le mépris des femmes, le rejet du plaisir, la négation de l'intelligence et de la culture pour le plus grand nombre... qui sont vraiment les priorités des "saints" rédacteurs de la Bible, du Coran et de la Torah. Onfray explique en citant des exemples, que de ces textes qui expriment tout et son contraire, on peut tout légitimer, de la plus grande mansuétude à l'arbitraire et la cruauté les plus achevées. Le réquisitoire est accablant, et les exemples de collusion des églises avec les pires régimes apparus dans l'histoire contemporaine viennent valider ces thèses.
Il propose une "laïcité post-chrétienne" non "contaminée par l'idéologie de l'adversaire. Nombre de militants de la cause ressemblent à s'y méprendre à des cléricaux"...

Un bouquin de 2005 à lire, certainement.
























Le livre commence par un rappel historique des débuts de l'athéisme. On y retrouve l'abbé Meslier, l'incroyable curé d'Etrépigny, dans les Ardennes, qui est repéré, sous le règne de Louis XIV, comme le premier vrai athée de l'histoire française (d'après les sources écrites, évidemment) sur lequel je reviendrai, après lecture de ses mémoires...

vendredi 27 juillet 2012

Quelques objectives raisons d'embrasser la religion

On n'oublie pas que religion vient de "religere", et qu'il s'agit donc de faire du lien...
























































































Là où j'ai faux, c'est quant à l'origine de ces jolies créations, pas notée...

Il ya des trucs qu'on fait sans motivation,

seulement par la force de l'inertie, l'élan qui vous mène sans qu'on l'ait vraiment consenti. Ce fut le cas de cette lecture du troisième tome du 1Q84, achevée parce que sur la lancée des deux précédents. mais vraiment non, je ne souscris pas à ces histoires de MOTHER, DAUGHTER, Little People et autres lunes doubles... Dieu pourtant sait, lui qui n'ignore pas n'exister que dans l'imagination des plus fragiles d'entre nous, que j'aimis* les fantaisies fantasmagoriques du bon Murakami (Haruki - le mauvais étant l'inventeur des horreurs en plastique un temps exposées à Versailles - Takashi)
























Une surprise moyenne au bout de ce troisième épisode : on n'est pas au bout du fleuve, je crains que l'estuaire ne soit encore loin...

*Du verbe aimir = aimer sans retenue

L’homme tombe plus vite amoureux que la femme (et autres constats)

Voici vingt conclusions tirées de recherches scientifiques :
  • Dans toutes les sociétés du monde, les femmes correspondant au canon de beauté local ont un rapport taille-hanches d’environ 0,7 (source) ;
  • Les hommes préfèrent très nettement les femmes ayant un beau corps et un visage peu attirant aux femmes ayant un beau visage et un corps peu attirant (source) ;
  • Les femmes sont attirées sexuellement par les hommes dotés de grandes pupilles (source) ;
  • Une belle jeune femme a été chargée d’aborder des étudiants pour leur demander de coucher avec elle : 75% ont accepté. Un séduisant jeune homme a fait de même avec des étudiantes : aucune n’a accepté (source) ;
  • Les femmes sont 60 à 70% plus douées que les hommes pour retenir les détails d’une scène et la disposition des objets dans une pièce (source) ;
  • 90% de la communication émotionnelle est non verbale (source) ;
  • L’homme est plus prompt à tomber amoureux et adhère plus volontiers à la croyance que l’amour dure toujours (source) ;
  • Pour les hommes comme pour les femmes, la gentillesse est la première qualité souhaitée pour un partenaire (source) ;
  • Plus l’homme est riche, plus il a de chances que sa partenaire soit jeune. Plus la femme est belle, plus riche sera l’homme. La beauté d’une femme est un excellent indicateur de la richesse de son mari (source) ;
  • Les femmes renaclent plus que les hommes à faire des rencontres en dehors de leur groupe ethnique (source) ;
  • Les individus qui perdent l’odorat subissent une dégradation émotionnelle plus forte que ceux qui perdent la vue (source) ;
  • Les femmes sont attirées par les hommes dont le codage ADN des HLA (antigènes des leucocytes humains) est le plus différent du leur (source) ;
  • La satisfaction conjugale suit une courbe en U : le couple est infiniment heureux pendant quelques années, le bonheur décline ensuite pour atteindre le point le plus bas pendant l’adolescence des enfants, pour remonter à l’arrivée de la retraite (source) ;
  • Les hommes sont plus constants que les femmes dans leur désir sexuel (source) ;
  • Les pourboires des stripteaseuses baissent de 45% quand elles ont leurs règles (source) ;
  • Les hommes aspirent à accomplir le même genre d’actes sexuels, quel que soit leur niveau d’éducation ; les préférences des femmes, en revanche, varient selon l’instruction, la culture, le niveau social. Les femmes instruites ont plus de chance de s’adonner aux pratiques buccales, par exemple (source) ;
  • Les femmes pieuses sont moins aventureuses que les incroyantes (source) ;
  • Entre 1980 et 2000, l’âge moyen du premier mariage a gagné cinq ou six ans en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni (source) ;
  • Dans la plupart des sociétés, le taux de divorce culmine dans la quatrième année de mariage (source) ;
  • Plus de 65% des divorces après 50 ans surviennent à la demande de la femme (source).

L'article complet de Rue 69

jeudi 26 juillet 2012

De l'abus du droit d'être ventru

Hier, à Sion -qui est loin de Jérusalem, faut arrêter de nous raconter des histoires, les sionistes sont avant tout des estivants qui aiment étaler leur bidoche au soleil en détaillant les petites nanas qui jouent aux raquettes- j'ai pris à l'insu du plein gré d'un quidam*, ce même homme cosmopolite de la casquette,

















internationaliste de la ceinture,

















et extraverti du bide.















* Je sais, c'est vilain, je le ferai pus, sauf si vraiment une bonne occasion se présente !

mercredi 25 juillet 2012

Une solution

Nuit

On nous recommande cette proposition artistique, jouée dans des lieux remarquables de Dordogne, la première semaine d'août :

















http://nuit2012.overblog.com/

On va y aller voir...

mardi 24 juillet 2012

Muret, 1213

Il y a des rendez-vous de l'histoire qui orientent le destin de millions d'hommes et décident pour des siècles de la forme nouvelle que prendra leur existence. La bataille de Muret fait partie de ces carrefours décisifs dans l'histoire de la France méridionale.
Le parti des alliés de langue occitane, réunis autour de Pierre II d'Aragon, aurait dû en toute logique mettre un coup d'arrêt à la croisade "contre les hérétiques", menée par les seigneurs français à la demande de la Papauté. Car il étaient en surnombre face aux chevaliers du nord, retranchés dans la ville de Muret.
"Les croisés étaient au maximum 2000, mais plus vraisemblablement 1000. Les alliés, entre 20000 et 40000."

L'enjeu pour Pierre II est la création ou le renforcement de sa principauté qui unissait par delà les Pyrénées les occitanistes catalans d'Espagne et ceux de Provence et de Languedoc.  Il s'agissait également de défendre les droits et possessions du comte de Toulouse, allié et parent de Pierre II et cible principale des croisés qui voient dans sa dépossession, l'occasion de se créer des fiefs personnels.










Un article complet et intéressant là.

L'enjeu du côté des croisés, compte tenu de l'incroyable déséquilibre des effectifs, c'est d'abord de sauver leur peau. Ce qui explique l'excès de confiance et la légèreté du clan occitano-catalan, et la hargne des chevaliers français dans le combat. S'y ajoutent des erreurs tactiques, qui ont empêché l'essentiel de l'armée des alliés catalans d'entrer en scène sur le champ de bataille : ils ont été vaincus sans se battre. Le roi Pierre II avait choisi d'échanger ses armes avec celles d'un chevalier qui avait pris les siennes, ce qui se faisait à l'époque, pour protéger le chef de l'armée qui se battait ainsi incognito.  Cette erreur lui fut fatale, car au lieu de se faire attraper vivant (ce qui était l'habitude pour obtenir une rançon exorbitante), le roi va se faire tuer par hasard dans la mêlée, et ce dès le début de l'affrontement. Sa mort va démobiliser son camp saisi de panique, et l'affrontement tournera rapidement au massacre. On parle de 20000 morts.

D'où il ressort qu'il ne faut jamais pêcher par excès de confiance.

Une représentation schématique possible de la bataille (les chroniques de l'époque ne permettent que des suppositions quant à son déroulement) :

 

Le sceau du chef des croisés, Simon de Montfort :










Tout ceci raconté dans un luxe de détails et toujours avec les sources historiques citées, par Michel Roquebert :

lundi 23 juillet 2012

La petite Bible des jeunes époux

En 1885, le docteur Montalban publie sous ce titre un ouvrage sensé guider les jeunes mariés dans leurs ébats amoureux. Il est représentatif de la conception scientifique et médicale d’une sexualité bien menée en cette deuxième moitié du XIXème siècle.

Une bonne surprise : la jouissance sexuelle y est ouvertement exaltée. Cependant tout doit être sévèrement contrôlé : pour les femmes, l'importance des premiers rapports, l'hygiène des périodes de menstruation, la gravité du tournant que constitue la ménopause ; pour l'homme, tout est question de gestion spermatique, l'effort de l'orgasme étant considéré comme une grande perte d'énergie . On prétend à l'époque que l'émission de 30 grammes de sperme équivaut à la perte de 1200 grammes de sang...
A partir de 1850, l'Eglise porte son attention sur un nouveau fléau appelé « onanisme conjugal ». L'expression désigne toutes les manoeuvres qui, au sein du couple légitime, autorisent le plaisir sans qu'il y ait risque de grossesse. Les risques encourus sont la damnation des fidèles et la dépopulation de la patrie. Aux yeux des médecins, il risque surtout de dévitaliser les hommes et d' « énerver » les femmes.

Les médecins du XIXème siècle ne cessent de répéter qu'à l'état naturel, la femme a une puissance de jouissance répétitive qui dépasse de beaucoup celle de l'homme. Pierre Larousse note dans son dictionnaire qu'une femme équivaut dans ce domaine à deux hommes et demi. D'où l'angoisse réitérée d'une gestion spermatique rigoureuse. Il est généralement conseillé à un jeune homme vigoureux deux ou trois coïts hebdomadaires. Quand il frise la cinquantaine, on ne lui autorise plus qu'un rapport toutes les trois semaines . Certains praticiens admettent encore une activité aux cinquantenaires, mais au-delà, c'est l'abstinence pour tout le monde.

Longtemps a prévalu l'idée que la procréation ne pouvait s'opérer que dans le cas d'orgasme chez l'épouse. Mais en même temps, le rapport doit être vigoureux et bref. Au point que l'éjaculation précoce n'est pas un problème à l'époque, les médecins n'en parlent pas. Le temps moyen calculé pour un rapport (en 1906, dans la société bourgeoise suisse) est de 3 minutes.

Sous la monarchie de juillet (1830-1848), deux médecins découvrent le mécanisme de l'ovulation. Pas de chance pour les femmes, on comprend que ce qui compte, ce n'est pas le plaisir de l'épouse, mais la date du rapport. Il faudra attendre de longues décennies pour que le plaisir féminin revienne dans les pratiques conseillées. Et encore est-ce le plus souvent par crainte que la femme mal aimée ne recherche l'adultère...


D'après le chapitre "La petite Bible des jeunes époux", pp. 171-183

Perdu – Gagné


J’avais parié que ce serait supérieurement intéressant-passionnant.

Perdu : ce n’est pas passionnant à quitter tout pour se caler dans un lieu calme au fond d’un fauteuil moelleux . Cette évocation de Barbara Loden, à travers son unique film de réalisatrice « Wanda » nous apprend des choses sur la femme, son oeuvre et le contexte de sa création, mais sans véritable fil narratif.

Gagné : c’est très bien écrit, trop bien même, trop léché, genre exercice de style, devoir de littérature parfait, mais scholastique. Par exemple, au début, elle se demande comment faire le portrait de B. Loden, cette femme qu’elle n’a pas connue. « Comment oser décrire une personne qu’on ne connaît pas ? » Suivent des exemples de descriptions de caractères, célèbres ou non, tirés de la littérature ou du monde cinéma...

























 Pourtant, au final, à la question « Quel intérêt de lire ça ? » - la réponse est grand.

Un gars moins rustaud qu'il n'en avait l'air...


http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/07/22/homme-de-neandertal-se-soignait-il-par-les-plantes/



















Photo d'origine indéterminée...

Réputation

Qu'est priée de rapporter de France et dans ses valises une canadienne revenant dans son pays pour les vacances ?

Réponse là.

dimanche 22 juillet 2012

Triptyque du marais de Talmont
























Là où le ciel ne livre que ponts flanchés

























L'eau recèle gueules béantes et crocs acérés

























Qui attendent de lacérer tes souvenirs
sucrés

samedi 21 juillet 2012

Sauterelles ponctuées...

...sur lit de millepertuis.

(Leptophyes punctatissima)


Paul dans sa vie

Un documentaire très touchant, sur la dernière année d'activité d'un paysan dans la Manche. Le portrait étonnant d'un modeste, ayant conservé toute sa vie une forme d'agriculture disparue depuis logntemps. Lors de la construction du centre de retraitement de La Hague, à quelques kilomètres de chez lui, tous les paysans du secteur ont été sollicités pour prendre un emploi, souvent à temps partiel, en conservant une part de leur activité agricole. Lui s'y est toujours refusé.
Très belles images, tournées en 2003.
Depuis, le Paul est devenu une grande vedette, grâce au succès du film...









































Photo Les films d'ici
















Trouvé sur  :
http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?p=702391&sid=beccbd5173189b1720356807e6eda13f


La critique du Monde

La fiche Allociné

samedi 14 juillet 2012

Bienvenue à Mimos !

Du lundi 30 juillet au samedi 4 août.

N'hésitez pas à faire signe, on voit si on peut vous héberger pendant le festival.

http://www.mimos.fr/

Feuilletez le programme du "off", il y a des séances toute la journée dans plein d 'endroits sympas de Périgueux, une façon chouette de découvrir la ville...

L'an passé, le clown chilien TUGA avait remporté le prix du public Mimoff 2011...

















Photo William Lesourd

Devinette

Quelle différence y a t-il entre une nourrice allaitante et une lectrice qui s'effondre avec un bouquin sur un canapé ?

Réponse là.

jeudi 12 juillet 2012

"Passez donc prendre un mic !"

est une expresssion que j'ai entendue bien des fois à la campagne, en Mayenne, du temps de ma jeunesse sage, lorsque gamin j'allais en vacances chez ma grand-mère ou chez ma tante. Je me suis interrogé souvent sur l'origine de ce mot. Le mot "mic" désigne un café, accompagné ou non de goutte.

Jean-Marie Déguignet, le fameux paysan bas-breton, nous laisse penser que cela viendrait du breton.
A propos du pélerinage de Kerdévot, il écrit :

"L'aspect de ce grand pardon était toujours tel que je l'avais vu autrefois. L'esplanade était entièrement couvertes de débits et de longues tentes blanches, lesquelles étaient remplis de gens buvant des camots (café mêlé d'eau-de-vie, du breton mikamo) et demi-camots, c'est-à-dire de l'eau noircie mêlée de la plus mauvaise eau-de-vie. Je voyais encore des hommes et des femmes tournant autour de la chapelle, les uns debout, les autres se traînant sur leurs genoux."

Le lien entre le mic mayennais et le mikamo breton est presque certain, à l'ouest de la Mayenne, on est tout près du pays gallo où se parlait un mélange de breton et de patois.


Un site de ressources sur l'histoire et les traditions bretonnes :
http://grandterrier.net/wiki/index.php?title=Le_pardon_de_ND_de_Kerd%C3%A9vot

Le pays gallo

mercredi 11 juillet 2012

Je savais que j'y reviendrais.

Mais c'est curieux comme le souvenir d'une lecture peut laisser une image étrange et déformée. Je ne me souvenais pas que la moitié du récit est consacrée aux campagnes militaires de Jean-Marie Déguignet. Comme on est sous Napoléon III, il participe à

- la guerre de Crimée (18454-1855), il est à Sébastopol aux côtés des anglais...
- la campagne d'Italie (1859)
- la campagne de Kabylie (1859) On y apprend que ce breton lettré fut employé comme maître d'école près de Collo, non loin de Djijelli où je fus moi-même instituteur... On y constate aussi que les pratiques répressives sanglantes au Maghreb ne furent pas inventées par le parachutiste Le Pen et ses sbires, pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie...
- la campagne du Mexique (1862-1865)

Tout ceci est fort intéressant, avec des tas de détails issus du quotidien des soldats, mais le point de vue de Déguignet s'élève toujours au-dessus du lot commun, car il a une véritable culture humaniste, il est très curieux de tout et apprend les langues à mesure qu'il les côtoie...

Son retour en Bretagne et ses démêlés avec ses compatriotes qui le prennent pour un fou ou un sorcier restent l'essentiel -le plus intéressant à mon goût- du récit.
Il a un fond de pensée libertaire, il est violemment anticlérical, progressiste en politique et humaniste d'une façon générale. Je pense qu'à son époque, au milieu des paysan des environs de Quimper, il devait être tout simplement invivable, avec un caractère de breton têtu (pléonasme) qui lui interdisait de céder devant toute forme d'oppression...
Il parle aussi librement des pratiques amoureuses, ce qui évidemment pouvait paraître choquant à l'époque. 
























Un témoignage incontournable pour ceux qui aiment la Bretagne...

samedi 7 juillet 2012

La complicité par l'épiée

La nuit
Quand tu dors
Je te regarde
Tu parles à des gens
Dans ton sommeil
Tes lèvres bougent
Et parfois aussi
Tes orteils.

Expression libre et populaire

 de la rue. (Pour l')



















































































































































http://www.archyves.net/

Un jardin en Mayenne


























































































vendredi 6 juillet 2012

Je me souviens (6)

que l'été de mes 16 ans, nous étions en virée cyclotouriste avec P. et Y. au Pays de Galles, contrée montagneuse que nous traversâmes péniblement pour rejoindre la côte à Aberystwyth, où nous pûmes lire, sur un mur faisant face à la plage, écrit en grandes lettres blanches : "WALES IS SOLD FOR ENGLISH GOLD "

mardi 3 juillet 2012

Quoi t-est-ce que le roman graphique ?

Ben , c'est le domaine d'excellence de Posy Simmonds !

Monsieur Roman saute sur Mme Bédée, ils ont un gosse. 

Je lis "Gemma Bovery", trop savoureux. Soit disant adaptation libre de Madame Bovary (Mrs Simmonds a étudié à la Sorbonne, la vraie, celle du Sorbon aux fraises). Faudra qu'je creuse le parallèle...

En attendant, j'régale...

Métaphysique des moeurs

Qu'y a t-il de plus jaune qu'une molène noire ?






















Photo Yves Le Presse

Pas réussi à trouver pourquoi on l'appelle noire... peut-être les étamines foncées... J'ai lu quelque part que ça venait de la couleur des racines, mais ça me semble douteux, et je n'ai trouvé confirmation de ça nulle part.

Chez nous, on fait dans le bouillon blanc, nom commun de cette molène encore appelée "bonhomme"...

dimanche 1 juillet 2012

Les aventures de Toi et Moi, par Tronchet

C'est pas tout récent (1998), et c'est drôle.