J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine
jeudi 7 juillet 2016
dimanche 3 juillet 2016
samedi 2 juillet 2016
L'auberge de la Jamaïque, de Daphne Du Maurier
J'ai du mal à trouver l'histoire de la famille Du Maurier. Je voulais connaître l'histoire du membre de cette famille aristocratique, originaire de la Sarthe, qui fut révolutionnaire et finit sur l'échafaud. Il semble que la famille se soit déchirée pendant la grande Révolution, et qu'une partie d'entre elle émigra en Angleterre.
Daphne Du Maurier (1907 - 1989) raconte cette saga familiale dans "les souffleurs de verre", livre qui n'a jamais été réédité depuis 1973, et a donc pris un peu de valeur chez les bouquinistes (Prix minimum repéré :12 €).
Je termine la lecture de l'"Auberge de la Jamaïque" histoire d'une fille pauvre qui n'a plus d'autre solution, à la mort de sa mère que de rejoindre sa tante, qui tient avec son mari la fameuse auberge. Or cet oncle se révèle rapidement être l'organisateur d'un vaste trafic dont on ne connaît pas l'origine au départ, et qui est nourri en fait par le produit des naufrages de bateaux attirés vers la côte, en période de tempête, grâce à des feux allumés par la bande de malfrats, un clan de naufrageurs, donc.
Les notices littéraires trouvées sur la toile évoquent beaucoup un lignage littéraire avec les soeurs Brontë. Je retrouve pour ma part l'ambiance des romans de Thomas Hardy. Le roman se situe sur la côte atlantique, proche du fameux comté de "Wessex", inventé par Hardy, et c'est un destin féminin qui se déploie dans l"Auberge"-à l'instar de celui de Tess, on a déjà relevé ici même comment Hardy dénonce la tragique condition féminine de son époque.
C'est un souvenir de film noir et blanc de Hitchcock (adaptation de ce roman) qui m'a donné le goût de lire le livre. L'adaptation est assez fidèle même si la construction du récit est différente, et ce film se regarde encore bien.
La Taverne de la Jamaïque (1939)
Daphne Du Maurier (1907 - 1989) raconte cette saga familiale dans "les souffleurs de verre", livre qui n'a jamais été réédité depuis 1973, et a donc pris un peu de valeur chez les bouquinistes (Prix minimum repéré :12 €).
Je termine la lecture de l'"Auberge de la Jamaïque" histoire d'une fille pauvre qui n'a plus d'autre solution, à la mort de sa mère que de rejoindre sa tante, qui tient avec son mari la fameuse auberge. Or cet oncle se révèle rapidement être l'organisateur d'un vaste trafic dont on ne connaît pas l'origine au départ, et qui est nourri en fait par le produit des naufrages de bateaux attirés vers la côte, en période de tempête, grâce à des feux allumés par la bande de malfrats, un clan de naufrageurs, donc.
Les notices littéraires trouvées sur la toile évoquent beaucoup un lignage littéraire avec les soeurs Brontë. Je retrouve pour ma part l'ambiance des romans de Thomas Hardy. Le roman se situe sur la côte atlantique, proche du fameux comté de "Wessex", inventé par Hardy, et c'est un destin féminin qui se déploie dans l"Auberge"-à l'instar de celui de Tess, on a déjà relevé ici même comment Hardy dénonce la tragique condition féminine de son époque.
C'est un souvenir de film noir et blanc de Hitchcock (adaptation de ce roman) qui m'a donné le goût de lire le livre. L'adaptation est assez fidèle même si la construction du récit est différente, et ce film se regarde encore bien.
La Taverne de la Jamaïque (1939)
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