mercredi 9 mars 2016

The revenant, de Alejandro González Iñárritu

J'ai suivi le trappeur dans sa descente aux enfers blancs et glacés, attaqué par une ourse, laissé pour mort par des compagnons sans scrupules, poursuivi par la faim et les indiens, mangeant du poisson cru à pleines dents et dormant dans un cheval mort...
On en a bavé, pendant 2 heures 30, mais on s'en est sortis, et la morale qui punit les vilains est sauve, même si les cicatrices de l'exercice sont profondes...
























Il paraît qu'il fallait beaucoup penser à Tarkovski, mais moi, j'ai plutôt régénéré le "Dead man" de Jim Jarmusch avec Johnny Dep...



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