dimanche 28 août 2011

Ô doux et sage et noblissime Ernest !

Parmi les innombrables vertus dont la généreuse providence t'a comblé, saura t-on jamais avec la nécessaire mesure et l'indispensable emphase, vanter, même par temps calme, le génie qui te fit cultiver dans ton insulaire jardin de toute beauté, ces oignons jusqu'à moi parvenus, suivant les chemins détournés que tu sais ?

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